voilà 8 ans bientôt placer au secret à la secte ASE
(pour aucune raison à par l'absence du papa et la symbiose d une maman parfaite, rien à reprocher). il interdise tous liens maman/fille pour provoquer le lien PAPA/FILLE !!! La famille maternel ne vois plus Pauline aucune signe de vie et elle reste déscolarisé a bientôt 11ans elle ne sais ni lire et ni écrire. Elle est détruite et le PAPA ne réagi pas
Nouvelle Attaque de la Secte ASE et des Département.
Ils volent les bébés dé 2/3jours à la maternité et ils meurt à 2semaines et -3mois..... en famille d'accueil !
Alors maintenant ils volent MAMAN et Bébé , détiennent en hôpital psychiatrique durant quelques mois. Ensuite début le chemin ppe/ppa de la secte ASE = Bébé à l'adoption ou en famille d'accueil cacher, faire travailler divers intervenants. Puis séquestrer la MAMAN dans un autre hôpital psychiatrique jusqu'au suicide ou l'obligation de soins pour ce droguer et détruire sa santé et accepter L'ABANDON DE SON ENFANTS à secte ASE !!!!
Depuis 3 semaines, nous faisons circuler notre tribune « Protection des enfants : l’urgence d’une véritable réforme de la justice » co-écrite par Justice des Familles (@balancetonjaf), @collectivemeresisolees et @protegeonslesenfants.
Nous avons dépassé les 200 signataires et nous continuons de recevoir des demandes d’ajout de signature. C’est déjà une victoire !
Le verre n’est pas encore à moitié plein, mais il ne tient qu’à nous de le remplir !
C’est pourquoi, nous avons décidé de publier la tribune sur le site de pétition en ligne @mesopinions afin de faciliter le mode de partage et le moyen de la signer :
>> Pétition signe et partage, merci pour les enfants de FRANCE
Le déni français consistant à minimiser certaines
affaires de violences sexuelles tout comme l’hypocrisie autour des
valeurs catholiques et des valeurs françaises est insupportable. Nous
devons investir cette problématique au nom des droits fondamentaux de
tous les enfants, du respect de leur dignité et de leur vie.
Traiter les mineur·es comme s’ils étaient majeur·es,
sanctionner leurs parents comme on punit des enfants... Une tribune
cosignée par la Collective des mères isolées et le Collectif
enfantiste.
Lundi 30 septembre est paru le Rapport sur les familles
monoparentales du sénateur Xavier Iacovelli, un ensemble de
recommandations visant à améliorer les conditions de vie des familles
monoparentales. Force est de constater qu'en matière de « coparentalité
», les recommandations qui figurent dans ce rapport ont de quoi
inquiéter les enfants et les femmes victimes de violences
intrafamiliales.
Parce que sous couvert de garantir l’ « égalité
parentale », les articles de loi sur l’« autorité parentale conjointe »
et les pratiques judiciaires contribuent en réalité à creuser les
inégalités homme-femme, et à entretenir les rapports de force et de
domination entre les hommes et les femmes, ainsi qu’entre les adultes et
les enfants lorsque domination il y a.
Après « Briser le silence », voici venu le temps de «
Briser l’espoir ». Alors que la responsabilité qui nous incombe est de
faire preuve de lucidité pour réformer un système générateur de
violences inacceptables ; alors que le gouvernement avait commencé à
ouvrir un œil sur ce système ; ce dernier a clairement décidé de faire
machine arrière.
Non relogement des familles précaires dans les
quartiers prioritaires de la politique de la ville ; feu vert du
gouvernement pour une hausse des loyers pouvant aller jusqu’à 3.5% ;
expulsions, mal-logement, surendettement… Chronique d’une noyade assurée
pour les familles monoparentales !
Voici la liste complète des signataires de notre
tribune "Protection des enfants : l’urgence d’une véritable réforme de
la justice" co-écrite par La Collective des Mères Isolées, Protégeons
les enfants et Justice des Familles.
Se retrouver placé du jour au lendemain sous la garde
de son agresseur quand on est un enfant qui dénonce des faits de
violences sexuelles de la part d’un de ses parents, en France en 2023,
c’est possible, et c’est même fréquent !
Parce que les mères isolées de France et leurs enfants
méritent mieux que le mépris et l'indifférence des pouvoirs publics, la
Collective des mères isolées a elle-même rédigé une Proposition de loi
pour la création d'un statut de parent isolé, qui devrait être soumise
au débat parlementaire à l'Assemblée Nationale et au Sénat dans les mois
qui viennent. Lisez, relayez, partagez !
Alors qu’1/4 des familles en France sont
monoparentales–et que 83% de ces familles sont portées par des femmes
qui subissent de plein fouet la pauvreté et les discriminations–de
nombreuses aides ne prennent pas en compte cette réalité. C’est le cas
de l’Allocation de Rentrée Scolaire (ARS), qui cette année encore
exclura de nombreuses mères isolées et leurs enfants par un mode de
calcul inadapté.
un dispositif de secte ASE diriger par les département ou tous fonctionnaire ce donne mutuellement du travail au sens de la traite des êtres humains (Article 225-4-1 à 9..25section 1bis du Code Pénal)
I. - La traite des êtres humains est le fait de
recruter une personne, de la transporter, de la transférer, de
l'héberger ou de l'accueillir à des fins d'exploitation dans l'une des
circonstances suivantes :
1° Soit avec l'emploi de menace, de
contrainte, de violence ou de manœuvre dolosive visant la victime, sa
famille ou une personne en relation habituelle avec la victime ;
2°
Soit par un ascendant légitime, naturel ou adoptif de cette personne ou
par une personne qui a autorité sur elle ou abuse de l'autorité que lui
confèrent ses fonctions ;
3° Soit par abus d'une situation de
vulnérabilité due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une
déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, apparente ou
connue de son auteur ;
4° Soit en échange ou par l'octroi d'une rémunération ou de tout autre avantage ou d'une promesse de rémunération ou d'avantage.
L'exploitation
mentionnée au premier alinéa du présent I est le fait de mettre la
victime à sa disposition ou à la disposition d'un tiers, même non
identifié, afin soit de permettre la commission contre la victime des
infractions de proxénétisme, d'agression ou d'atteintes sexuelles, de
réduction en esclavage, de soumission à du travail ou à des services
forcés, de réduction en servitude, de prélèvement de l'un de ses
organes, d'exploitation de la mendicité, de conditions de travail ou
d'hébergement contraires à sa dignité, soit de contraindre la victime à
commettre tout crime ou délit.
La traite des êtres humains est punie de sept ans d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende.
II.
- La traite des êtres humains à l'égard d'un mineur est constituée même
si elle n'est commise dans aucune des circonstances prévues aux 1° à 4°
du I.
Elle est punie de dix ans d'emprisonnement et de 1 500 000 € d'amende.
De la traite des êtres humains Du proxénétisme et des infractions qui en résultent Du recours à la prostitution De l’exploitation de la mendicité Des
conditions de travail et d’hébergement contraires à la dignité de la
personne, du travail forcé et de la réduction en servitude
QUAND CERTAINS ÉDUCATEURS VIVENT CE QU’ILS ONT EUX-MÊMES CRÉÉ : LE RETOUR DU RÉEL
« Il est trop tard pour former ou réformer l’ASE. Il est temps de l’encadrer. »
Selon un article publié par France Bleu le 1er juin 2024, les signalements en protection de l’enfance explosent en Côte-d’Or.
Les éducateurs et intervenants expriment leur épuisement, leur impuissance, et leur frustration croissante face à des enfants porteurs de handicaps, ou très jeunes, en grande détresse.
Mais une vérité essentielle n’est jamais dite :
Les enfants placés sont, par définition, des enfants traumatisés.
Le placement est un acte de rupture, qui génère un stress post-traumatique, quel que soit le contexte.
Beaucoup de ces enfants ont été arrachés à leurs parents protecteurs, souvent dans un contexte de séparation mal gérée, ou sur la base de rapports biaisés.
Aujourd’hui, les services eux-mêmes reconnaissent ne plus pouvoir faire face.
Ils se retrouvent à gérer, seuls, ce qu’ils reprochaient hier aux familles.
C’est pourquoi un dispositif tiers, structurant et indépendant est proposé dans le rapport de terrain en cours de finalisation, qui sera transmis à la députée Isabelle Santiago : le SAPFE – Service d’Appui Prévention aux Familles et à l’Enfance.
Ce service n’est pas un “accompagnement social” de plus.
Il est pensé comme un véritable espace de coordination, de prévention, de soutien et de justice réparatrice.
Il doit intervenir dès la séparation parentale, en lien étroit avec les juges aux affaires familiales, afin :
– de réduire les délais judiciaires dévastateurs pour les enfants,
– de garantir une continuité dans l’autorité parentale,
– de poser un cadre clair et impartial entre les deux parents,
– d’éviter les inversions de protection,
– et de prévenir les placements inutiles en apportant une réponse adaptée dès le départ.
Ce service devra :
– être entièrement indépendant de l’ASE,
– fonctionner sur un modèle public-privé, avec des professionnels du médico-social, du handicap, de la parentalité, de la médiation familiale et de l’éducation,
– accompagner aussi bien les familles en construction (garde alternée, médiation) que les familles en danger réel (violence, emprise),
– garantir l’accès à des aides concrètes, humaines, financières et psychologiques.
Ce que vivent aujourd’hui les professionnels de l’ASE, c’est le retour du réel :
Ils découvrent ce que des milliers de parents, seuls, vivaient déjà.
Et cela montre que le système ne tient plus.
Il est illusoire de croire qu’on pourra réformer l’ASE de l’intérieur.
Le conditionnement est trop ancien.
Il faut repenser la prévention, la parentalité, la place du juge, et cesser de confier aux services sociaux des fonctions qui relèvent de la justice.
« L’envers des affaires », le magazine de Karl Zéro vient de publier une énorme enquête sur la prostitution des mineurs. On peut se le procurer dans toutes les librairies et les maisons de la presse. Ou sur le net.
Nadège Hubert et moi-même, ainsi que Judith Trinquart, nous avons répondu aux questions de Karl. Cela donne dix pages d’interviews qui racontent notre livre « À cœurs perdus » (éditions Mareuil). Mais il y a d’autres entretiens, beaucoup d’infos qui donnent le vertige. À lire toutes affaires cessantes !
A L’OCCASION DE LA JOURNEE EUROPEENNE DE LUTTE CONTRE LA TRAITE DES ETRES HUMAINS 2018
Deux ans après la fin du premier plan national d’action (2014-2016), les associations actives contre la traite en France attendent toujours que le gouvernement français ait identifié, planifié et budgété -conformément à ses engagements internationaux - des mesures en cohérence avec la gravité du phénomène. Promis pour le 18 octobre 2018 (journée européenne de lutte contre la traite des êtres humains), le Plan est désormais annoncé pour le 10 décembre 2018 (Journée des droits de l’Homme). Qu’en est-il vraiment ?
Une politique peu volontariste pour un crime grave
La traite des êtres humains, sous toutes ses formes, est un crime grave et la France s’est engagée dans des traités internationaux et européens, à lutter contre cette atteinte aux droits humains et à protéger les victimes. Le deuxième plan coordonné par la MIPROF, devrait affirmer et concrétiser la politique de lutte contre toutes les formes de traite.
Or, force est de constater que :
1 - Le portage politique est insatisfaisant : la lutte contre la traite des êtres humains devrait être placée sous la responsabilité directe du Premier ministre : le rattachement au secrétariat d’Etat chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes n’est pas pertinent pour assurer la coordination nécessaire de tous les acteurs concernés quels que soient la forme d’exploitation des victimes de traite et le public concerné car il réduit le phénomène à l’exploitation sexuelle des femmes, certes extrêmement préoccupante mais loin d’être la seule forme de traite
2 - Il y a une absence totale de visibilité quant aux moyens financiers et humains dédiés à la politique de lutte contre la traite et le projet de loi de finances 2019 n’intègre pas le financement de la prévention et de la lutte contre la traite des êtres humains. Donner une cohérence au Plan nécessiterait des moyens spécifiques et affichés, affectés aux institutions et associations - tant pour l’identification des victimes, que leur accompagnement et leur hébergement. Pour être efficace, il devra être le résultat d’une concertation avec tous les acteurs concernés et s’appuyer sur l’évaluation du plan précédent.
3 - Il n’existe pas de réelle coordination entre tous les acteurs concernés, les institutions et la société civile : associations, syndicats, entreprises.
Le choix des territoires et sites pilotes pour des expérimentations devrait s’opérer à partir de diagnostics de terrain, en coopération avec tous les acteurs concernés ; les programmes devraient faire l’objet de reporting partagé au fil de l’expérimentation et d’évaluation partagée à l’issue.
La société civile dans toutes ses composantes devrait aussi être associée, consultée et partie prenante tout au long de la mise en œuvre du plan. Le Collectif « Ensemble contre la traite des êtres humains » souhaite que les partenariats de la MIPROF s’exercent dans la transparence.
Le suivi du Plan par un organisme indépendant (la CNCDH) devrait être clairement énoncé dans le Plan (comme ce fut le cas pour le Premier Plan), tant en France que vis-à-vis des instances internationales de suivi ou contrôle des conventions, directives ou autres textes internationaux engageant la France.
4 - La France ne prend pas en compte les remarques des instances internationales, européennes et nationales.
Malgré les interpellations régulières de l’ONU (Conseil des droits de l’Homme et rapporteurs spéciaux, Comité des droits de l’Enfant) et des différentes organisations en charge d’évaluer les politiques publiques en matière de traite (CNCDH – Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme et GRETA – organe du Conseil de l’Europe chargé de suivre l’application de la Convention de Varsovie), le gouvernement français tarde à appliquer la loi et se retranche derrière l’argument d’avoir à minima adapté sa règlementation conformément à la directive européenne.
La société civile peine à se faire entendre
Dans ces circonstances, le Collectif demande à être associé dès maintenant aux prochaines étapes de travail afin que soit développé un plan efficace, intégrant le contexte, les moyens humains et financiers, les résultats attendus/indicateurs d’évaluation, les institutions et les associations spécialisées et autres partenaires impliqués, la participation des personnes directement concernées.
Il précise que les objectifs suivants doivent être pris en compte :
Prévenir tous les phénomènes de traite
Identifier toutes les victimes de traite
Protéger les victimes de traite dans le cadre du droit commun
Poursuivre les auteurs devant les tribunaux et rendre justice aux victimes.
Mettre en place une coordination efficace entre institutions et société civile : victimes, associations, Syndicats, entreprises
Coopérer à l’échelle internationale
Evaluer le Plan de façon indépendante et en continu
Le Collectif « Ensemble contre la Traite des êtres humains » est un réseau créé pour une lutte plus efficace contre toutes les formes de ce déni des droits humains. Créé par le Secours Catholique en 2007, il regroupe 26 associations françaises, engagées de façon directe ou indirecte avec les victimes en France ou dans les pays de transit et d’origine de la traite.
Associations membres du Collectif « Ensemble contre la traite des êtres humains » :
Action Catholique des Femmes, AFJ, Agir Contre la Prostitution des Enfants, Agir Ensemble pour les Droits de l’Homme, Amicale du Nid, Armée du Salut, Association pour la Réadaptation Sociale, Aux Captifs la libération, Comité Contre l’Esclavage Moderne, Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine, Congrégation Notre Dame de Charité du Bon Pasteur, Conseil Français des Associations pour les Droits de l’Enfant, ECPAT France, Fédération des acteurs de Solidarité, Fédération de l’Entraide Protestante, Espoir CFDJ-Jeunes errants, Fondation Jean et Jeanne Scelles, Hors la rue, Justice et Paix France, La Cimade, Les Champs de Booz, Mouvement du Nid, Organisation Internationale Contre l’Esclavage Moderne, Planète Enfants & Développement, SOS Esclaves, Secours Catholique - Caritas France.
La Protection de l’Enfance est en crise depuis des
années et ce ne sont pas les alertes lancées par de nombreux organismes
ou associations, en contact direct avec ses bénéficiaires ou non, qui
manquent.
Les 29 organisations réunies dans le collectif La Dynamique pour les droits des enfants » constataient fin 2024 que le gouvernement Bayrou avait carrément oublié de nommer un ministre de plein exercice ou un secrétaire d’Etat à l’enfance.
Pour réparer cet oubli, le président de la République annonçait le 28
décembre son désir de voir créé en janvier 2025 un Haut-Commissariat à
l’enfance, ce qui ne semblait toutefois pas aller dans le sens d’une
consolidation efficace de la politique de l’enfance.
Les chiffres clés des établissements dépendant de l’ASE,
basés sur des données un peu datées (fin 2021) mettaient déjà
clairement en lumière les carences de l’Etat en matière de protection de
l’enfance, notamment sur le plan de la scolarisation.
Depuis, la situation ne cesse de se dégrader et chaque jour apporte
son lot de misère dont nous ne tolérerions pas le centième pour nos
propres enfants.
France stratégie, estimait en septembre 2024
que le prolongement de l’accompagnement jusqu’à 21 ans (loi « Taquet »)
devrait favoriser les chances d’ascension sociale de ces jeunes et
formulait trois propositions :
faire de la réussite scolaire un objectif explicite du placement ;
améliorer la coopération entre l’Education nationale et les services de l’ASE ;
mettre en place un suivi statistique pérenne des jeunes placés, pour mieux apprécier les effets des politiques menées.
Il semblerait qu’on soit parti aujourd’hui, avec la loi du 26 janvier
2024, dans la direction opposée et que la seule perspective qui se
présente à présent soit la « sortie sèche » de la protection de l’enfance
pour les jeunes migrants atteignant l’âge de la majorité et se trouvant
dans la majorité des cas frappés d’une OQTF (obligation de quitter le
territoire français).
En 2022, nous alertions déjà l’opinion, dans l’espoir d’atteindre les
pouvoirs publics : entre le 30 juin et le 4 juillet, la Section de
l’Aube de la LDH organisait une action de défense des jeunes migrants à
Troyes. Si celle-ci a obtenu un certain écho, au point de prolonger la
mobilisation le 15 octobre de la même année, avec les associations
partenaires (MRAP, CIMADE), force est de constater que les bonnes
intentions ne suffisent pas.
Ainsi, à 18 ans, ils devront être autonomes, à la fois financièrement
et psychologiquement. Sous-entendu, ils se débrouillent. Ça, c’est un
peu le rêve de l’État quand on évoque les jeunes issus de la protection
de l’enfance. Quitte à en oublier sa responsabilité. Car, comme le
rappelle la Défenseure des droits Claire Hédon, « l’âge moyen de
départ des enfants du foyer familial est de 24 ans et non de 18 ans. Ça
n’a donc pas de sens de demander aux jeunes de la protection de
l’enfance d’être indépendants à cet âge-là ». Tous le savent, les
18 ans sont un moment crucial. C’est l’âge à lequel un basculement se
fait. En 2022, la loi Taquet, relative à la protection des enfants,
dispose justement que la fin du dispositif d’aide sociale doit garantir « un accompagnement pour les 18-21 ans par les départements et l’État. » Charlie Hebdo 16 février 2025
Merci de faire la promotion de ce site au profit de ma fille Pauline en envoyant simplement ce lien à tous vos amis : Pauline35310.blogspot.com
Les médias ne veulent pas dénoncer ce scandale !!!!
Voilà: Consultez s'il vous plaît le
site que j'ai fait de ma fille, comme des centaines de milliers de
parents en détresse face a ce trafique d'enfants (détournement
d'argent de l'état effectuer par les services sociaux et le conseil
général).
CAR LE GOUVERNEMENT A DONNER TROP DE LAISSE AU
SOCIAUX. Alors ils prennent le POUVOIR et détruise de plus en plus
chaque semaines des FAMILLES
QUI ÉTAIT SENS SOUCI, SENS VIOLENCES
POUR PROVOQUER LE DANGER AUX ENFANTS au sens DE L'ARTICLE 375CC.
Et faire la situation des enfants
rapidement en MDPH, en leurs privant de leurs famille (article
371-4CC), leurs privant d'école, de toutes possibilité de
développements,
pour les interdirent de ce défendre et d'apprendre.
Pour faire leurs situation MDPH. OUI Car un enfants placer , même
abusif rapporte au conseil général + de 7500€ , un enfant MDPH
rapporte près de 25000€.
Vous pouvez aussi vous rapprocher des
associations comme VIOLETTE JUSTICE (PARIS).
Rendeznousnosenfants.org (Hélène
LOMBARD 0644 09 18 42) actif sur le terrain en France vas de
familles en familles pour aider a débloquer les situations .
Et il y
en a encore plein d'autre. DES VICTIMES ILS Y EN A DE PLUS EN PLUS CHAQUE JOURS.
FAITE CONNAITRE A LA TÉLÉ LA VÉRITÉ, ET
UNE CHANCE DES FAMILLES DE CE RASSEMBLER ENSEMBLE POUR S'AIDER ET
ENSEMBLE CE FAIRE ENTENDRE DE CETTE INJUSTICE, QUE NOS ENFANTS NOUS
SOIS RESTITUER; et tous les centre ASE Fermer définitif.
STOP A LA
MALTRAITANCE DE NOS ENFANTS ET DE NOUS PARENTS !!!!
Ceux qui doivent pointer au chômage, c'est eux! qui vivent sur la misère du monde!
4 bébés chaque semaines enlever à leurs parents dans les Maternités de Saint Brieux 22 et Morbihan 56 et placé abusivement ...
il
Y A JAMAIS AUCUN DANGER! SEUL EST LA CAUSE pour ramener de l' argents
et encors plus d'argents au conseil général détournement d'argent de
l’état sur la souffrance des enfants et de leur parents provoquer par
leurs placement abusif au sens de l'article 375CC avec l'aide des
service sociaux et le conseil général.
NOS ENFANTS SONT EN PRISON,
VU COMME DES ANIMAUX. Et condamner pire que les adultes en prison.
Interdit de téléphoner, interdit de tous contacte avec leur familles, et
de tous moyen de défense (pas d'avocats)(jamais entendu par le juge, leurs paroles ne compte pas), car ils profite de la fragilité du jeune âges des enfants avant 18ans.
ils
n'ont pas le droits de garder leurs doudou et jouet qui leurs
rappellerais leurs parents et vie heureuses. Les vêtements des parents
ne son jamais porté par les enfants, ci, juste au visite pour faire
belle impression. Ci non il change radicalement de vêtement de style de
vie pour forcer les enfants a accepter une autre famille, une autre vie,
une autre affection des parents; Où les enfants sont forcer d'appeler
PAPA ET MAMAN des inconnue. Où chaque parents peut apercevoir lors des
visites médiatisé stricte de 2h par semaine maximum encadrer par deux
sociaux comme des criminel. Les violences faites sur leur enfants en
leurs absences dans les centre et famille d'accueil spécifique. DES
BLEUES, DES HÉMATOME DE VIOLENCES RÉPÉTER, DU SEXE ROUGE ET DILATER
,COMME APRÈS UN RAPPORT SEXUEL OU L'ENFANT EST VICTIMES D'ATTOUCHEMENT
SEXUEL ET DE VIOL, PEUVENT AUSSI ÊTES TÉMOINS DU RETARD D'APPRENTISSAGE
ET SCOLAIRE DE LEURS ENFANTS. Car il est volontairement prive d'école ou
mal accompagner. Des souci de santé dont des lunettes non adapter pour
la vue, pour provoquer une aggravation de la santé de l’enfant. FAIRE
ainsi une situation d'un dossier MDPH plus approfondit qui rapportera un
peut plus d'argent sur le dos de ce pauvre enfant.
NOS
ENFANTS SONT JUSTE DES OBJETS SEXUEL ET DES OBJET QUE LE CONSEIL
GÉNÉRAL CE VOIS CE SERVIR POUR FAIRE DES ACTIONS AUPRÈS DES SERVICES
SOCIAUX ET DES SERVICE DE SANTÉ, qui ce donne volontairement et
mutuellement du travail grâce aux souffrances des enfants et de leurs
parents (entre eux : conseil général, assistante social, A S E,
médecins, hôpitaux, psychologue, psychiatre, médecins spécialiste,
avocats, juges, magistrats, CAF etc.. )
Ce danger peu tomber sur n'importe qui. Même les mairies, les gendarmes, les députés, .. savent le danger et reste neutre.
>>>
RAPPEL, Plusieurs suicides de mamans et d'enfants en centre de
l'enfance / famille d'accueil spécifique ce multiplies. Cause a cette
injustice et souffrance qui ne peux ce voir au jour et êtres entendu et
défendu.
>>>
RAPPEL: que des avocats son d’accord avec l' A S E qui demande au juge
un suivi psychiatre au MAMAN sur tous, et a certain enfants qui
n'accepte pas la séparation. Qui souvent ce termine
par des "TS" Tentative de suicide ou véritablement suicide.
>>> RAPPEL: que de nombreux clochard, son des enfants sortie de la DDASS , privé d'avenir et d'emplois, qui eux ne connaisse même pas leurs famille !Que
parmi eux qui s'en sorte un peu ou partiel ont continuellement un suivi
psychiatrique pour les détruire et leur empêcher de fonder leurs
famille et avenir. HONTEUX !!!!! (Preuve a l'appuie)!
>>>
Les enfants son privé de leurs famille abusivement sous aucun danger et
placé dans des centres, pouponnière, ensuite dans des familles
d'accueil spécifique et placé a l'adoption forcer après 1ans
d'interdiction de visite entre les enfants et leurs parents.
contre
leurs volontés et leurs intérêts. (provoquer l'adoption forcer,
falsifier les papiers pour forcer les parents a l'abandon de leurs
enfants au bout d'un an, car il nous interdit tous contacte avec nos
enfants).
Ci
l'ont réclame nos enfants, l'ont est condamner a des peines
d'emprisonnement pour des diffamations inconnue, et placé pour certain
en hôpital psychiatrique. Ci vous êtes isoler , ne travailler pas ces
encore plus facile de vous détruire. Par les ASE ils y a souvent des
provocations de déroute dans les voisinages, les couples ou le travail.
Foutre la merde pour détruire vos vies petit a petit vous conduire
rapidement a la rue comme clochard. Car la CAF JOUE UN RÔLE aussi. Plus
d'aide social, aucun recours ont vous oublie de la société.
LA
FRANCE PERD CES COULEURS ET SA LÉGISLATION : Sa législation n'est plus
que mensonge et espoirs. [EGALITE - LIBETE - FRATERNITE]
OU
EST LA JUSTICE ?!!! OU est la Place du gouvernement ? La France est
oublier et détruite chaque jours par de multiples attaques.
- SOS SOS SOS,
SOS SOS SOS -
RENDEZ
PUBLIQUE QUE TOUTES LES BELLES DÉCORATION, BELLES AVENUE ENTRETENU DANS
LES VILLES, ET LE RENDU PUBLIQUE DES AIDES AU IMMIGRANTS SUR DES FONT
PUBLIQUE DE DÉTOURNEMENT D'ARGENT illégale effectuer sur les dos des
Pauvre enfants privé de leurs familles et de tous avenir, ainsi de
l'école.
A
dire aussi que les agent publiques ce donne mutuellement du travail sur
de la fraude et la souffrance des enfants et de leurs parents. Qu'ils
font des essai clinique et médicamenteux sur nos enfants qui prennes
comme des cobaye pour faire ainsi faire rapidement des situations MDPH
en leurs faveurs de l'aide au conseil général. POUR NUIRE AU ENFANTS ET
LEURS SANTE AU SENS DE L'ARTICLE 375 cc ;
>> stop aux trafique d’enfants et la violence répété gratuite et inhumain faite sur nos enfants.<<
MERCI
DE FAIRE PASSER L'INFORMATION PARTOUS et au élus aussi QUE CELA FAIT
BOUGER ET NOUS AIDER A STOPPER CELA ET RÉCUPÉRER NOS ENFANTS;
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