♦♥♦ PHOTOS D'enfants = Témoignages de parents ♦♥♦

♦♥♦ PHOTOS D'enfants Mort ou violenté a l'ASE.
Témoignages de parents ♦♥♦
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RAPPEL que ce crime caussé par l'ASE , ne passe JAMAIS aux médias (télé)!
Vérité cacher sur la mort de l'enfant.
Partager pour que justice soit rendue a ce petit ange et a sa maman
Marie Belomo courage





Bonjour et merci beaucoup Laetitia et toutes les autres personnes pour le soutien que vous m’accordez dans le dossier de demande de Justice pour mon nourrisson Marie BELOMO, décédée au 10e jour de son placement abusif et sa transformation en COBAYE à la Pouponnière Michelet Paris 13e non sanitaire ‼️‼️‼️‼️‼️‼️ ‼️‼️‼️‼️
Jeanne d’Arc BELOMO, la maman du nourrisson Marie BELOMO.

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Paris, le 11 Février 2020
Jeanne d’Arc BELOMO, la maman du nourrisson Marie BELOMO
E-mail :
JusticeAuNourrissonMarieBELOMO@gmail.com
🔴 TRÈS URGENT ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
#JusticeAuNourrissonMarieBELOMO
#StopAuDéniDeJusticeCollectif
#PARTAGEZ SVP
 denoncer.lesinjustices@yahoo.com
 To: "lmarot@lesechosleparisien.fr" <lmarot@lesechosleparisien.fr>; "aclowez@lesechosleparisien.fr" <aclowez@lesechosleparisien.fr>
Sent: Saturday, February 8, 2020, 06:14:55 PM GMT+1
Subject: Fw: DÉCÈS de ma très chère nourrisson Marie BELOMO, au 10e jour de son PLACEMENT ABUSIF, sa TRANSFORMATION en COBAYE, EXPÉRIMENTATIONS CRIMINELLES sur mon nourrisson Marie BELOMO à la Pouponnière Michelet de Paris 13e non sanitaire ‼️‼️
Paris, le 08 Février 2020
Jeanne d’Arc BELOMO, la maman du nourrisson Marie BELOMO
E-mail : JusticeAuNourrissonMarieBELOMO@gmail.com
TRÈS URGENT ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️



🔴 PLACEMENT ABUSIF, TRANSFORMATION en COBAYE et DÉCÈS au 10e jour de PLACEMENT ABUSIF, TRANSFORMATION en COBAYE, de mon nourrisson Marie BELOMO, à la Pouponnière Michelet de Paris 13e non sanitaire, les faits datent de 2014 - 2015, je suis face à un DÉNI de JUSTICE collectif très effrayant, puisque nous sommes en Février 2020, toujours aucune Justice n’est rendue pour mon nourrisson Marie BELOMO, les faits aussi graves, continuent à être couverts, ça doit cesser‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Découvrez le CRIME en lisant les Pièces : 1, 38, 48, 62, 70 ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 J’ai porté PLAINTE le 04/12/2019, contre
👉🏾 Madame Anne HIDALGO la Maire de Paris, et sa bande de complices ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Ma PLAINTE a été enregistrée au Commissariat Central de Paris 15e en date du 04/12/2019.
🔴 Les Africain(e)s et tout le monde entier, doivent découvrir la vérité relatif au dossier Marie BELOMO ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Je remercie Africa24 de
👉🏾 Parler de ma PLAINTE afin que
📌 Les faits aussi graves cessent d’être couverts ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
📌 STOP aux placements abusivement des enfants dans des Pouponnières à Paris et partout en France ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Les africain(e)s ne doivent pas laisser, sans parler et dénoncer un CRIME, comme celui qui a été commis sur la personne, de mon nourrisson Marie BELOMO à Paris ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Placement abusif de mon nourrisson Marie BELOMO, à la Pouponnière Michelet de Paris 13e non sanitaire, transformation en cobaye par le médicament CAPTOPRIL, très dangereux sur les nourrissons, non autorisé de vente en France en 2014 - 2015 au moment des faits, c’est sur mon nourrisson Marie BELOMO que CAPTOPRIL avait été testé ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Transformation en COBAYE de mon nourrisson Marie BELOMO, Pièces : 48, 62, 70 ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 C’est bien que Africa24 parle à son journal télévisé, aux heures de très grande écoute, en montrant les photos de mon nourrisson Marie BELOMO, et les Pièces très fortes du dossier, le placement abusif à la Pouponnière Michelet de Paris 13e non sanitaire, transformation en COBAYE et DÉCÈS de mon nourrisson Marie BELOMO ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 La transformation en cobaye et le décès au 10e jour de placement abusif de mon nourrisson Marie BELOMO, les faits remontent à 2014 - 2015, je suis face au déni de justice collectif dans ce dossier, Pièces 38, 48, 62, 70 ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
Pour preuve de ce que je dis, lisez les Pièces : 1, 38, 48, 62, 70 ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Pièce 1 : Ordonnance de Placement Abusif de mon nourrisson Marie BELOMO ‼️‼️
🔴 Pièce 38 : Décès pendant le placement abusif de mon nourrisson Marie BELOMO ‼️‼️
🔴 Pièce 40 : La Pouponnière Michelet de Paris 13e non sanitaire, avait volontairement empoisonner au médicament CAPTOPRIL, mon nourrisson Marie BELOMO, elle avait même augmenté les médicaments en plus du très dangereux médicament CAPTOPRIL, si bien que mon mon nourrisson Marie BELOMO est DÉCÉDÉE au 10e jour de son placement abusif et sa transformation en COBAYE, à la Pouponnière Michelet de Paris 13e non sanitaire‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Pièce 62 : ATU nominative du CAPTOPRIL de l’ANSM, sur mon nourrisson Marie BELOMO, sans que je ne le sache, j’avais tout découvert pendant les expertises, le soit disant Expert Jean-Claude MSELATI avait écarté la Pièce 62 du dossier pour couvrir ses collègues et tout le monde‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Le soit disant Jean-Claude MSELATI doit être radié de la liste des Experts et passer toute sa vie en prison ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
🔴 Pièce 70 : Commande du CAPTOPRIL à l’ANSM le 11/12/2014, sur mon nourrisson Marie BELOMO, sans que je le sache, par le Dr Myriam BENSEMLALI de l’Hôpital Necker de Paris 15e ‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️‼️



 
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VOILA UN JUGEMENT Abusif et de lâcheté !!!!



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Cette affaire, particulièrement pénible pour la famille, se déroule à la maternité de la polyclinique des Trois Frontières à Saint Louis (Haut Rhin), alors que les sociaux au renfort de deux policiers, s’introduisent dans la chambre d’une patiente pour lui enlever sa fille.
De telles choses se font par l’autorité d’une ordonnance de placement rendue par le juge des enfants concernant la fratrie. Mais, à ce moment, le père était là pour filmer la réalité des faits, ce que lui avait interdit un des policiers présent sur la scène.
Le père poste ensuite cette vidéo sur youtube, puis la retire face aux injonctions des sociaux. Il l’envoie quelques jours plus tard sur différents réseaux assortie de ses commentaires sur l’un d’un sociaux : « Et en plus, quand il parlait, il sentait l’alcool dans sa gueule, et lui on ne le fait pas souffler dans l’éthylotest … ».
La réaction 
N’appréciant pas que les faits soient portés à la connaissance du public, les sociaux du conseil départemental du Haut Rhin réclament et obtiennent la protection fonctionnelle de leur administration (article 11 de la loi du 13 février 1983). Ils considèrent qu’ils sont victimes d’outrage par le fait du commentaire du père de famille, mais aussi d’atteinte à l’intimité de leur vie privée par la diffusion de la vidéo. Il est très probable que le conseil général du Haut-Rhin se soit porté là partie civile.
Un des responsables des sociaux du Haut Rhin en rajoute donc pour l’accusation, il mentionne que ce père de famille les a déjà insultés auparavant sur Internet. Ce qui semble établir effectivement que les sociaux sont très présents sur les réseaux «sociaux» y compris pour commenter eux-mêmes. Il ajoute que ce père les « inonde » de mails, qu’il en fait autant avec la juridiction en charge de son affaire. Il en conclut que ce père est «en guerre contre les institutions».
Une charge tout à fait maladroite qui tend à prouver que le père a formulé de nombreuses demandes, lesquelles ne sont jamais traitées en dépit de son autorité parentale, que les sociaux se prennent pour les institutions à eux-seuls et considèrent donc n’avoir pas de comptes à rendre puisque la contestation de leurs décisions relève d’une guerre contre les institutions. Le demandeur n’en reste donc pas aux faits mais les interprète dans un contexte tout à fait particulier.
Le problème de droit
Il appartient donc ici aux juges du tribunal correctionnel de Mulhouse de dire et juger si le délit d’outrage et la responsabilité délictuelle du père pour atteinte à l’intimité de la vie privée sont constitués par le fait de filmer et diffuser en commentant l’intervention des sociaux dans une chambre d’hôpital.
Si le jugement n’est pas frappé d’appel alors il constituera une jurisprudence utile pour les familles.
Que disent les magistrats ?
Concernant le chef d’accusation d’outrage, il faut rappeler que la notion d’outrage est réprimée par l’article 433-5 du code pénal qui la définit comme « les paroles, gestes ou menaces, les écrits ou images de toute nature non rendus publics ou l’envoi d’objets quelconques adressés à une personne chargée d’une mission de service public, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de sa mission, et de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à la fonction dont elle est investie. »
Le procureur adjoint, représentant le ministère public donc l’accusation, requiert trois mois de prison avec sursis écartant l’outrage mais retenant l’atteinte à l’intimité de la vie privée.
Le tribunal écartera donc le délit d’outrage dans la mesure où les propos incriminés n’ont pas été tenus en présence des personnes chargés de la mission de service public. Ainsi des commentaires désobligeants concernant les sociaux tenus sur des réseaux sociaux ne sont pas des outrages. Il aurait donc été plus judicieux d’attaquer pour diffamation.
L’atteinte à l’intimité de la vie privée relève de l’article 226-1 du Code pénal, le délit consiste en la captation, l’enregistrement, la transmission, sans le consentement de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel de personnes se trouvant dans un lieu privé.
Or si une chambre d’hôpital est bien un lieu privé, les sociaux s’y trouvaient non pas dans l’exercice de leur vie privée mais dans leur exercice professionnel, ce qui ne relève pas d’une atteinte à leur vie privée. Ainsi en a décidé très justement le tribunal et donc un social ne saurait évoquer l’atteinte à sa vie privée dans des circonstances similaires.


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katya

La maman : Non. Je veux juste savoir où est ma fille. J’ai des choses à vous dire, j’ai préparé un papier avant de venir vous voir.
Service social : D’accord.
La maman : Comme vous en avez eu connaissance, j’ai saisi la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
Service social : Oui, c’est bien.
La maman : Ma requête a été soumise au Comité Européen des Requêtes, enfin nos deux requêtes : la mienne et celle de ma fille aînée.
Service social : Ouais.
La maman : Ces requêtes seront examinées avec le soutien des parlementaires européens lettons.
Service social : Ouais.
La maman : Donc, chacun des travailleurs sociaux impliqués dans l’affaire de ma fille sera nommément cité. Je ferais savoir aux autorités locales ce qui est en train de se passer. Je dirai que vous faites partie de ces travailleurs sociaux qui ont fait partie de cette commission du 9 mars 2012.
Service social : J’en étais ?
La maman : Il y a une liste de professionnels qui y assistaient comme le Docteur Nickolas Silva, Ruth Wilkinson, Nick Rumball et d’autres. Et vous aussi. Je vous le redis, toute personne qui a fait de son mieux pour placer ma fille illégalement à l’adoption, sera nommée. Un membre letton du parlement européen, le député John Hemming, les institutions internationales des droits de l’homme, les media, l’ambassade de Lettonie ont été prévenus.  Ils  réagiront instantanément si le district de Merton ose tenter de me menacer encore au cas où je continuerais mon combat en justice et contacterais les media. Je veux voir ma fille. Je veux rencontrer les adoptants. Je veux organiser immédiatement le retour de ma fille. Je vous ordonne de mettre en place une rencontre entre les adoptants, ma fille et moi. Les adoptants n’ont été informés en rien de cette affaire, ils ne savent pas la vérité sur cette affaire.
Alors je vous ai informé des procédures mises en place, des requêtes, des media qui  en ont parlé, du Parlement Européen. Je n’accepte aucune boite aux lettres parce que je continue à me battre pour le retour de ma fille.
Service social : Ouais, je comprends votre position.
La maman : Ma fille a été volée. Elle a été retirée illégalement pour être mise à l’adoption forcée. Pour être honnête, je suis certaine que cette rencontre avec les adoptants vous facilitera les choses car ce sera la meilleure façon de faire revenir ma fille avant que les choses n’empirent. Je peux vous dire que les adoptants ne vont pas être contents quand ils apprendront la vérité. Alors, à leur tour, ils pourraient bien poursuivre les services sociaux de Merton pour leur avoir caché la vérité sur mon enfant. Voila ce que j’ai à dire.
Service social : OK.
La maman : J’étais là la semaine dernière, avec ce même t-shirt et une pancarte. J’avais demandé à votre administration de me rendre ma fille immédiatement. C’était une manifestation paisible de ma part et les responsables des services sociaux de ce district ont bien pris connaissance de cette manifestation.
Cette manifestation, tout ce que je fais, c’est désormais mon travail à temps plein et je l’accomplis pour le retour de ma fille. Ma fille a été volée, elle doit revenir tout de suite. Elle a été placée en toute illégalité auprès d’adoptants. C’est tout.
Service social : Ok. Il est évident que vous comprenez mon rôle et ce que je fais ici. Vous et moi ne pouvons nous comprendre.
La maman : Absolument.
Service social : J’essaie de vous aider, pour que vous puissiez gérer votre situation.
La maman : Vous m’aideriez et vous vous aideriez vous-même si vous cessez tout cela. J’espère qu’à votre niveau vous avez le pouvoir de le faire, arrêtez cela avant que cela ne tourne plus mal,  parce que les adoptants devraient être avertis, informés de toute cette affaire. On devrait leur faire entendre ce que j’ai à dire, nous devons nous rencontrer et ils devront me rendre ma fille. Si les adoptants apprennent toute l’histoire ils vont être en colère pour le moins, parce qu’ils sauront que jamais ma fille n’a été abandonnée, je n’ai jamais renoncé à elle pour qu’elle soit adoptée. Les responsables des services sociaux du district de Merton devront faire face à une enquête et ils seront poursuivis pour avoir fait des faux et menti devant les tribunaux, le parjure devant la justice est un crime.
Service social : Ouaais.
La maman : Je ne veux aucune aide, je veux mon enfant.
Service social : Oui, je comprends votre position.
La maman : Je ne vais pas me mettre à pleurer ici, je ne vais pas raconter mon histoire aux autres parents non plus, je ne vais pas discuter autour d’une tasse de thé. J’ai des choses plus importantes à faire. J’exige que ma fille revienne.
Service social : Ouais … Je comprends votre situation. Disons que si vous changez d’état d’esprit, si vos appels n’aboutissent pas aux résultats que vous espérez … Et nous pensons à votre fille, à son besoin de savoir si vous allez bien. Alors nous espérons obtenir des informations écrites de votre part, sur la façon dont vous vous portez, c’est important pour elle d’avoir cette information. Vous êtes la seule personne qui puisse nous fournir cette information sur le long terme. Vous savez je respecte complètement votre position. Si cela change dans le futur, si vous pensez qu’elle a besoin de savoir comment vous allez alors nous pourrons vous aider. Parce que c’est important pour vous, en ce moment elle n’a aucune information directe sur vous par vous…
CEDIF : On remarque ici l’utilisation du palliatif joint à une stratégie de culpabilisation du parent, l’utilisation de l’analyse transactionnelle aux fins de manipulation permet à l’assistante sociale de se positionner dans la posture Adulte face à l’Enfant. Cette tactique est très souvent employée par ces gens. Mais la maman ne se laisse pas abuser par cette manipulation et en revient aux faits quitte à les répéter ad nauseam alors que la travailleuse sociale ne veut pas l’entendre et ne l’entend pas.
La maman : Bien sûr, elle s’est fait bourrer le crâne par Ruth Wilkinson et d’autres prétendus professionnels. Je sais comment vous procédez.
Service social : Ce qui est important c’est votre fille. Nous devons nous assurer qu’elle ait quelque chose de vous. Nous serons là pour vous aider, pour vous donner notre soutien. Je comprends bien votre situation. Si nous pensons à Catherine et à sa situation, elle a besoin d’avoir des nouvelles de vous. Dans le futur bien sûr, nous comprenons vraiment que vous n’êtes pas disposée à aller dans ce sens pour le moment mais nous continuerons à vous offrir ce service à vous, à elle, pour qu’elle puisse garder une sorte de lien avec vous.
La maman : Alors les services sociaux de Merton ont volé ma fille et les services sociaux de Merton m’offrent maintenant un si grand service : me dire à moi que je pourrais être entendu par ma fille alors qu’elle ne sera jamais autorisée à entendre le moindre mot sur la vérité de son adoption ? Vous vous foutez de moi ?
CEDIF : Bravo à la maman qui vient de mettre la travailleuse social échec et mat. 


Service social : Quand elle sera plus grande…
La maman : Ah, quand elle sera plus grande !!!!! Oh !!
Service social : Elle aura l’opportunité d’entendre, SI C’EST-CE QU’ELLE VEUT, cela sera sa décision.
La maman : Vous savez sans doute que pas le moindre mot de vérité ne sera transmis à ma fille ou à ses adoptants, si jamais j’écris. Mais je vous assure que tôt ou tard et par n’importe quel moyen, ma fille reviendra.
Service social : OK. Bien.
La maman : C’est pour cela que je suis ici, juste pour vous dire que je n’écrirai aucune histoire, que je n’écrirai pas de lettres, car cela voudrait dire que sa mère a laissé tomber et je ne la laisserai pas tomber.
Service social : Non vous n’avez pas laissé tomber. C’est bien. Je suis là pour vous suggérer que selon son point de vue elle vit ailleurs c’est tout ce qu’elle sait, alors entendre quelque chose de vous, avoir des photos ou quoi que ce soit  qu’elle puisse conserver c’est important. Alors si vous pensez un peu de son point de vue et c’est ce que j’essaie de voir, ce qu’elle pourrait recevoir de positif de vous.  En même temps, je ne vais pas polémiquer avec vous si vous vous obstinez sur votre propre point de vue, ce sera clairement, totalement et véritablement votre décision. Si vous ne voulez pas lui donner quoi que ce soit, c’est votre décision.
La maman : Non. Je ne veux pas lui donner. Quand elle me reviendra elle aura toutes les informations sur tout. Des dizaines et des dizaines de fichiers, de dossiers, elle connaîtra la vérité.
Service social : Et en attendant ?
La maman : En attendant la meilleure chose que je peux faire pour ma fille, pour la sauver c’est de continuer à me battre sur le plan juridique et politique.
Service social : Je suis absolument d’accord avec vous.
La maman : Si j’avais pu compter sur le système légal britannique, je n’aurais pas eu besoin d’aller au Parlement européen à Bruxelles,  à Strasbourg et à l’ambassade de Lettonie.
Service social : Elle le saura.
La maman : C’est ce que je peux faire de mieux pour ma fille.
Service social : Absolument.
La maman : On a donné à ma fille 10 ou 12 photos de sa famille pendant ce que vous appelez “le contact des au revoir ».
Service social : OK. Elle les a eu alors.
La maman : Je ne suis pas sûre que les travailleurs sociaux permettront à ma fille de les garder. Je ne vais pas laisser des lettres qui disent : « Oh, je t’aime mon bébé ! ». J’aime ma fille et je continue à me battre pour son retour. Je ne vais pas non plus fournir des photos aux adoptants pour qu’ils puissent lui montrer : « Oh, tu vois c’est toi quand tu avais 5 mois, c’est toi quand tu avais 1 an, etc … »
Pourquoi le devrais-je ? Je ne suis pas une mère par procuration pour leur donner ces choses, je ne vais pas leur faire ce plaisir ou ce cadeau. Ils ne se sont pas donnés la peine d’avoir leur propre enfant ? Je ne vais pas les encourager dans ce sens. Je veux seulement qu’ils me contactent, je veux que le district de Merton organise une rencontre avec les adoptants, moi-même et ma fille aînée, Mayja. Sinon les choses pourraient vraiment aller mal car ils n’ont pas idée de ce qui se passe.
Service social : Mmm.
La maman : Vous comprenez ?
Service social : Ouais, je comprends.
La maman : C’est que nous sommes des adultes. Et s’il vous plait ne faîtes pas l’imbécile. Nous avons tous les deux compris ce qui se passe. Nous savons pourquoi les adoptants ne sont pas autorisés à savoir, à me voir, me rencontrer. Parce que la vérité, vous la connaissez. Alors s’ils ont dû payer pour avoir ma fille, ce n’est pas mon problème, cela ne me concerne pas.
Je veux ma fille et je l’aurais.
Service social : OK.
La maman : C’est ce que je peux faire de mieux pour ma fille.
Service social : OK, c’est bon. Merci pour être venue. Cela fait loin de chez vous n’est ce pas ? Je ne suis pas certain de savoir où vous vivez, au nord de Londres ?
La maman : Vous m’avez envoyé un courrier, c’était la bonne adresse.
Service social : C’est un long chemin que vous avez parcouru.
La maman : J’ai déménagé pour m’installer dans cette maison pour venir en aide à Katya. Lorsque nous nous sommes rencontrés la premier fois vous m’aviez dit que vous aviez pu prendre connaissance de mon dossier, vous m’aviez dit : « Vous êtes une bonne mère, vous avez fait du mieux que vous pouviez pour récupérer votre fille, mais une décision a été rendue ». Sarah Turner et Ruth Wilkinson ainsi que les directeurs m’ont dit : « Laila, si vous déménager ici vous récupérerez votre fille ». Et pourtant les services sociaux de Merton sont allé au tribunal. Alors je n’accepte pas vos jeux malhonnêtes, illégaux et criminels. C’est tout. Je vois cela de mon point de vue et cela continuera, je me battrai pour que me fille puisse revenir.
Je suppose que vous ferez part de cette conversation avec votre direction, alors je serais bien contente si vous leur répétez tout ce que je vous ai dit.
Service social : Je vous souhaite une bonne continuation.
La maman : Merci.
Service social : S’il vous plait, si vous changez d’avis plus tard, reprenez contact avec moi, si vous changez d’avis au sujet des lettres.
La maman : Non, je veux que ma fille revienne ! Je veux savoir où elle est, je veux savoir si elle va bien, si elle n’a pas été droguée et …
Service social : Elle est tout à fait en sécurité et en fait elle est tout à fait heureuse.
La maman : Tout à fait heureuse avec tout cela ?
Service social : Ouaaais, elle est très heureuse.
La maman : Vous vous moquez de moi ? Elle est heureuse ?
Service social : Elle a l’air d’être heureuse.
La maman : Vous n’êtes pas sérieuse. Vous avez des enfants ?
Service social : Ouais.
La maman : Combien ?
Service social : Cinq.
La maman : Cinq enfants ?
Service social : Ouais.
La maman : Je pense que vous vous moquez de moi, dire des choses pareilles à une mère …
Service social : Je peux vous rassurer, elle va bien.
La maman : Je ne suis pas là pour ça, je veux ma fille.
Service social : Je peux le comprendre.
La maman : Merci, au revoir.
Service social : Très bien, merci d’être venu.





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«Zone interdite» sur les enfants placés : «Que Macron regarde ce documentaire»
Avant sa diffusion dimanche soir, M 6 a projeté à l’Assemblée nationale une enquête sur les dérives de l’Aide sociale à l’enfance, devant des députés et d’anciens enfants placés en foyers. 

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